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Sujet: On trinque, on s'tape![Pv: Joe & Dark] Dim 21 Nov - 11:39
De par la fucking manchette de ce foutu sujet mais aussi, de par ma personnalité, il ne vous est pas difficile de deviner ou se localisait le lieu propice a l'aboutissement même de ma marche. Vous devez surement connaitre ces bars ou y a ces nanas en strave qui se déhanche et tout les morts pilots comme moi qui gravitent autour en bavant et en leurs criants de tout enlever et de venir nous en tailler une. J'étais peut-être un genre de chien altéré et vorace en terme de gnôle et d'entre-cuisse mais ce n'était pas pour déplaire, loin de la. Si je me gratifiai du droit de picoler comme un trou toute sorte d'eau-de-vie, c'est qu'il y avait une raison plausible a cela. Exploiter mes plus abstraits vices pour culbuter d'indéniables limites. Ce n'était pas un hasard si j'avais enfourné quelques unes de ces pucelles, dans mon passé, sous l'effet de l'alcool. L'imprévisibilité et la folie hante chaque homme mais dans mon cas on aurait put dire que ce ne pouvait même plus être qualifié d'impondérable mais de grand n'importe quoi et il en advenait de même pour cette déraison...
J'avais pris soin de bien amarrer le black raft au port de cette petite île qui semblait dépendre de north blue. Cook'town, je présumai... Elle était devenu ma première antagoniste. Cette salope aurait put se prénommer Alcool'town. Si a cet instant crucial une nana m'aurait placé un kick dans les roubignoles, je vous l'assure, c'est indemne que je serai resté. Mes deux ballons étaient remonté jusque dans mon putain de gosier. Je dois quand même vous concéder que mon entité se trouvait deja sous l'effet d'une gorgée de mon cocktail alcoolisé, pour que je puisse avoir l'incommensurable folie de piquer un semblant de crise n'ayant ni queue ni tête. Ça faisait quand même chier qu'ils aient baptisé cette ville Cook'town. Ce n'était pas pour être insultant mais ca avait tout l'air d'être un beau nom de pédé qui trônait au dessus de cette bourgade. Au vu de son prénom éructant je puis disposer de l'intelligence nécessaire qui me permis de me douter que je ne pourrai d'ores et deja jouir d'un savoureux amalgame femme plus alcool. Je devrai, sans nul doute, me tourner vers un autre vice. Un vice qui serait susceptible d'expier cette rage intérieur qui m'en donnait des fourmis.
Amorçant ma marche, je pus mettre au point un dessein stupéfiant. Sachant pertinemment que l'argent n'était pas de mise en ce moment même et que je n'aurai pas de quoi payer toutes mes bières... Je n'avais qu'a trinquer avec un ou deux couillons pour, finalement, me faire la mâle, après les avoirs défoncé bien entendu. Il était si facile, de nos jours, d'escroquer les gens en abusant de leurs confiances et de leurs gentillesse. C'en était presque devenu un jeu d'enfant, que de recourir a ces méthodes quelque peu vil. Je n'étais pas forcément quelqu'un de fourbe, bien qu'étant considéré comme un forban, mais l'alcool m'y poussait. Une fois que l'on tombe dans la spirale infernale du vice, on s'y enivre, on y prend gout et on ne veut plus en ressortir. D'ailleurs j'peux vous dire que si un gars me proposait d'en sortir, j'lui foutrai mon majeur dans le cul!
Je faisais finalement mon apparition dans ce bar lugubre aux lumières tamisés ou n'y reposait que des vulgaires messieurs. Même ces gars, contrairement a ceux qui demeuraient dans les bars a striptease, semblaient avoir un ballet dans le cul... Tout était bien a l'instar de ce lieu. Aucun déhanché en string, aucune ambiance, aucun fou furieux avide de sexe... Mon sexe appeal en était devenu superflu, ce qui me les foutaient encore plus haute. Je comblerai ce malêtre par le combat et l'alcool, par un sage entendement. J'étais dans l'obligeance d'emmerder mon amour propre, pour ce coup si, cette dernière salope étant entrain de me turlupiné le caillou.
La première patente a effectuer fut de pavaner mon body sur une de ces longues chaises boisés et de claquer des doigts affin d'attirer l'attention de ce gros porc avide d'argent qui s'était adonné a l'occupation d'essuyer paisiblement ses verres... Ce qui, envers mon égard, était quelque peu dérangeant. Ramène moi une bonne bibine! Mon poing vint éclater sur le comptoir, tandis que ma langue se glissait avec fourberie et lenteur sur mes lèvres, leurs préparant le terrain. Ces dernières en devinrent pulpeuse, imprégnées de ma salive. Tandis que ce déchet s'octroyait la tâche de remplir jusqu'à ses rebords mon verre de bibine tant attendu, je scrutai les alentours, cherchant mon pigeon ou même ma proie. Les deux conviendraient.
Désolé pour le poste merdique.
Busta Joe
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Sujet: Re: On trinque, on s'tape![Pv: Joe & Dark] Lun 22 Nov - 13:06
Encounter ٠٠٠٠٠٠٠٠٠of drunken.
La rencontre de deux frères...
Des ivrognes empestant les vapeurs d'alcools forts et d'infâmes piquettes, de la fumée de cigare saturant l'atmosphère, quelques lanternes au faible éclairage, un air de piano continuel, aucun doute possible... Notre héros était assis au fond d'une taverne en plein après-midi. Des boucaniers dansaient sur les tables du fond tels des déments, la trop grande quantité de binouze qu'ils ingurgitèrent commença à faire effet, un triste effet pour certains, un véritable spectacle entrainant pour d'autres. Notre héros quant à lui, ne put s'empêcher de descendre son bock d'un seul coup pour aller rejoindre ces pieds de vignes se fendant la poire entre eux. Après tout, lui aussi souhaitait s'amuser comme un fou jusqu'à sombrer dans un coma éthylique. Le bruit généré par le claquement de son verre sur la table à laquelle il était assis précédemment raisonna dans tout l'établissement, si bien qu'énormément de clients se retournèrent sur lui avec un air agacé. Il colla ensuite sa table à celle des autres pour enfin monter dessus et danser avec ces derniers comme jamais, exécutant des pas plus ridicules les uns que les autres. Les bouteilles allaient et venait, différents mélanges flirtèrent avec son gosier déjà bien habitué à la bière et aux différentes variétés Rhum. Soudain, un importun (très malpoli d'ailleurs) vint jouer le rabat-joie de service, cherchant la misère à notre héros par dessus le marché...
" Hey ! Tu m'as éclaboussé ! Bougre d'imbécile !! Tu vas me payer le double du prix pour cette veste en cuir ! Elle date d'hier en plus, non mais tu veux mourir ou quoi ? Tu sais qui je suis ? " Dit alors l'inconnu, un peu trop sûr de lui.
" Hum... Pardon ! Waw... Diantre, je vois flou là... Qui t'es ? Hum... Une pauvre tâche qui n'a vraiment pas d'bol d'être tombée sur moi lorsque je m'amuse et qui se comporte d'une manière très qu'impo... Impolie avec moi ! " Rétorqua alors notre héros, très mal en point...
C'est alors que, agacé par le comportement euphorique de notre héros, cet homme tenta de faire tomber celui-ci de la table en shootant dedans vigoureusement. Ce procéder fonctionna à merveille, hélas Joe n'eut pas la même satisfaction que l'intéressé... Et le résultat qui en découla fut des plus détonants.
" Gomu Gomu No.... Stamp ! "
Le pied de notre héros rencontra et ce de manière très violente, l'abdomen de l'individu devenu l'adversaire de Joe, désormais. Mais surprise générale, sa jambe s'étira de deux mètres durant l'attaque, vous vous rendez compte ? Cet homme n'était pas humain, un tel phénomène relevait de l'impossible ! La seule explication plausible restait l'hypothèse de ces légendaires fruits démoniaques, conférant à ceux les ayant mangé, des pouvoirs hors du commun comme pourquoi pas, rendre le corps élastique comme la jambe de Joe. L'énergumène touché par l'attaque du pirate fut projeté jusqu'au comptoir, le détruisant partiellement, ce qui rendit le tenancier fou furieux.
Citation :
Pas très génial non plus.
Dernière édition par Busta Joe le Jeu 25 Nov - 17:29, édité 2 fois
Jack Mugen
Capitaine Pirate
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Sujet: Re: On trinque, on s'tape![Pv: Joe & Dark] Mer 24 Nov - 20:05
Ce lieu semblant comme mort, quasi inerte, s'éveilla aux joies et aux folies de l'alcool. Une ribambelle d'hommes a moitié bourrés usèrent de leur tonicité dont le dessein avait la consistance de se mouvoir en une plurale finalité, pour se lancer dans une frénétique danse sur les tables du fin fond de ce merlu. Alors que la fin de mon premier verre de bibine se faisait imminente, ce que l'on appel grabuge fit irruption dans cet inaccoutumé et détestable lieu.
Nonobstant le fait que ce singulier hominidé emmitouflé de noir, des panards a la peinture facial, soit complètement bourré, un homme quelque peu morfondu fit par de son mécontentement a ce dernier pitre. En simple argument de rétorque, une phrase incompréhensible ne pouvant trouver son sens même. Affublé par cet animal de foire, le morfondu vint asséner un front kick gratifié de puissance au plurale pitre. C'est en cet instant même que nous allions voir si le fou se révèlerait être un rédhibitoire prédateur ou s'il ne serait rien de plus qu'une populacière lopette.
Ne se dégonflant pas en targuant feindre un éventuel Knock Out, l'intéressé se releva audacieusement. C'est alors, qu'observant la scène du coin de mes mirettes, je me détournai de l'action pour venir loger mon regard dans celui du bar man. Balance un deuxi... Un profond bruitage vint surgir sous forme matériel, me coupant avec une netteté exemplaire. La seule chose a dire ce fut que ce fils de pute ne manquait pas de style pour étendre sa jambe sur plus de deux mètres et, qui plus est, avec une puissance phénoménale. L'homme fut, par un entendement des plus évidents, balayé, n'opposant aucune résistance, n'en étant plus apte bien que chevronné.
Deux choses furent déplaisantes suite a ces agissements se délectant de notre quotidien. Primo, le fait d'interrompre cet homme près a me servir ma bibine. Deuzio, l'ingurgitation de mon liquide mousseux m'allait être extirpé du fait qu'une partie du comptoir avait été lourdement endommagé et que cet homme s'était rétamé sur la machine ayant pour contenance divers alcools, telle que ma bibine tant idolâtrée. Bon point, c'en était un adversaire captivant qui venait s'ériger sur mon petit bout de layon.
Mes dents vinrent serrer le bouchon de mon pot-pourri, se donnant le droit de lui défalquer son fameux cabochon. Un narquois sourire vint se déssiner sur mon éternelle frimousse, tandis que je me prodiguai le droit d'en descendre une demi-bouteille, si vous voyez d'quoi j'vous parle, mes lèvres faisant office de tenaille, exerçant une constante pression sur le goulot. L'amalgame fut transmit au sein même de mon gosier, s'écoulant jusque ma barbaque, gorgée sur gorgée. Ma bouteille n'étant qu'a demi-pleine a sa réouverture, voila qu'il n'en subsistait plus que néant. Putain d'merde! Hic! Précédemment, je m'étais adossé sur le reste du comptoir. Ce dernier fut absorbé dans l'incompréhension la plus complète, sous le courroux impétueux des ténèbres. Il n'en fut pas moins, qu'a sa disparition, je pus basculer en arrière, explosant le derche de ma fiasque.
Finalisant ma marche tout en tenant fermement ce goulot qui arborait un corps tranchant dépourvu de son cul, je pus m'arrêter a quelques mètres du fabuleux pitre. Tu vas t'excuser et m'en tailler une... Hic! C'est alors, que le pointant du doigt, sur ce genre de discours ne me ressemblant nullement, qu'un voile de ténèbres vint ourler mon bras, exerçant une immuable force d'attraction sur ma cible contre son grès. Un haussement d'épaule, signe d'acquiescement, distinctif au fait que j'approuvai mon éveil a cette insolite et fortuite habileté. S'tu veux pas que j'te réduise en charpie! Hic! Son rapprochement imminent dut au lancement de mon dernier coup, me permit en simultané avec ce coup de hoquet, d'écraser ma bouteille de bière, deja a moitié fracassé, sur le crane de ce gars. Je n'eus même pas le temps de respirer, qu'un rot vint surgir des tréfonds de mon intestin. S'y accompagna la projection du comptoir, émergeant avec directive de mon giron, repoussant l'intéressé vers sa place initiale.
Harassé d'être resté debout tout ce temps et d'avoir usé de multiples technique contre mon grès... Mon popotin venait se rallier au plancher du lieu. La position de l'indien fit surface. Dès lors, je pus apposer les paumes de mes mains sur mes genoux, mes sourcils se tenant hautainement, observant le dernier lieu qu'avait atteint l'homme a la balafre... Hey, le balafré! Relèves toi qu'on trinque un coup et puis qu'on s'en mette plein la gueule! Hic! Accompagnant ma proposition douteuse, adjacente a un nouveau hoquet de courte durée, une voile ténébreux submergea quelques hommes a mon insu pour les engloutir, alors que je m'étais permis de fermer les yeux quelques secondes. J'attendais donc, présomptueusement, une réponse du sujet que j'avais boycotté.
Dark' tu entreras dans le rôle play et mp moi/joe car tu donnais pas de réponse.
Busta Joe
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Sujet: Re: On trinque, on s'tape![Pv: Joe & Dark] Jeu 25 Nov - 16:54
♣ Une première rencontre assez houleuse. ♣
Est-ce au bord du coma éthylique que nous nous faisons nos meilleurs amis ?
Waw, un tel souk mit en si peu de temps... Par un seul homme ? Un comptoir de cabaret qui vole à travers la salle pour enfin aller s'écraser sur la tête de notre héros. Des clients soufflés à l'autre bout de la pièce suite au terrible choc généré par le précédent impact, le tenancier quant à lui, pissant dans son froc dans une trouille pas possible, observait la scène à l'aide de sa paire d'yeux écarquillés... Ce dernier tenait un verre de vin qu'il s'apprêtait à servir à l'un de ses habitués il y a une dizaine de secondes encore. Vraiment, quel début de journée riche en rebondissements ! Mais ce n'est pas tout chers lecteurs, je vous rassure, ce qui suit est bien plus violent que de se prendre un bon gros projectile d'un mètre cinq sur quatre. En effet, le responsable de toute cette pagaille attira notre vaillant boucanier à lui – par un procédé tout aussi insolite que l'élasticité de son corps -. Ensuite, celui-ci explosa le cul de sa bouteille contre une table pour s'en servir comme arme dans le but de mutiler son adversaire au visage ! Joe fut ouvert sur tout le côté gauche, le sang coulait à flots et ses vêtements se virent bientôt imprégnés d'hémoglobine, un véritable massacre qui laisserait d'horribles séquelles – telle sa cicatrice -. Ce pauvre Busta fut, pour finir, expulsé sur une chaise en bois par son ennemi saoul et très violent, mais n'allez pas croire que le flibustier ferait profil bas, loin de là !
''L'enfoiré ! Salaud ! Bâtard ! Fils de chacal ! Comment as-tu * iark* osé me malmener de la sorte * iark* ! J'vais te mettre une raclée, tu vas déguster * iark* ! Gomu Gomu no... Hein ? Quoi ?'' Hurla soudainement notre héros avant de s'apaiser d'un seul coup, suite à la demande de beuverie faite par son adversaire.
Busta attrapa sa bouteille de Rhum énergiquement pour ensuite se rincer le gosier, après un tel chamboulement, mieux valait se ressaisir avec une bonne gorgée d'alcool fort. Avec courage et effort, il parvint à se lever et à se dépoussiérer le futal qu'il s'était payé le mois dernier. Notre héros se dirigea ensuite vers cette homme ivre qui ressemblait à un pirate, dans toute sa splendeur : sa barbe naissante en collier, ses manières peu raffinées, les vêtements sentant l'alcool eux aussi, au même titre que son haleine. Joe s'assit enfin en face de son compagnon de boisson, mais avant cela ce dernier fit un geste conventionnel en cas de conflit, quelque chose de tout à fait normal... L'homme élastique explosa lui aussi sa bouteille ! Non pas sur une table, mais sur le crâne de son ennemi, un acte vindicatif... Œil pour œil, dent pour dent comme on dit.
...:::EN COURS:::...
Dark'Snow Day
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Sujet: Re: On trinque, on s'tape![Pv: Joe & Dark] Mar 30 Nov - 23:42
[ Vue que ce post n'est qu'un post pour dire que je viens et que je me casse, bah je l'ai pas relu voyez-vous ... ]
On ne voit que très rarement des malades dans les rues, dans la plupart des cas on les enferme dans un asile de fou, car ce qui fait que l'Homme a peur d'un individu tel qu'un malade, c'est que la différence le perturbe. On est tous con à vrai dire, mais cette psychologie à deux balles ne faisaient que réconforter mon esprit perturbé à démolir des bouffons comme tout ces philosophes et leurs théories qu'ils sortent de je ne sais où. Pour moi, la vie c'est rien, on aura beau me tirer des balles dans le cul j'en sortirai toujours aussi fou et malade que je ne le suis déjà, alors n'allez pas me dire que vous êtes plus futé que moi … Mon but à Cook'Town était juste d'aller combler ma perversité dans un bar à prostituée – vous savez les bars où les enfants on pas le droit d'entrer … car par moment, c'est leur mère que je tripote sur le bord du comptoir – eh bien c'était là-bas que je me dégourdissais le membre principal de mon corps … Ouais, mon foie ! En tout cas, ici la puanteur ne prenait pas congé, on s'en passerait bien de ces odeurs nauséabondes qui vous rappellent que certains vivent dans l'carton où on a pissé juste avant qu'il ne se couche dedans. Je pourrais jamais faire comme eux, personnellement rien que le fait de dormir dans la pisse d'un con qui me prend pour une merde, ce serait bien insultant, mais encore … On sait jamais d'où vient ce fameux carton, ni où on se réveillera le lendemain …
Ma recherche était vraiment déplorable, je tombais toujours sur des bars sans alcool, un pirate ne peut donc plus se remplir le gosier où il veut maintenant ? Vraiment n'importe quoi leur politique, mais bon, je fus bien content de trouver mon bonheur au coin d'une rue qui puait la mort, et quand je fus entré, je ne fus pas très surpris de ce que je pus voir. Si je devais définir ce bar comme un chiottes crade, je le ferai en pissant dedans, mais la je devais vraiment boire un coup pour oublier cette odeur qui me donnait envie de vomir. Marchant vers le comptoir, je ne me gênais pas pour laisser mes mains se baladaient sur certaines fesses de certaines filles, néanmoins, je laissais quand même mes yeux se donner du plaisir. Téméraire était le mot qui me définissait assez bien, la mort pour moi c'était comme m'endormir pour me réveiller quelques heures plus tard, je m'en foutais pas mal. Je ne peux citer les raisons qui me poussaient à penser ainsi, mais la mort c'était rien comparé à moi, ce n'était que mon ombre si je peux me permettre un petit signe de modestie. M'asseyant à une chaise devant le comptoir, je laissais mes mains enlacer des hanches divines. Heureusement pour moi, je ne m'étais pas trompé de personne, cette magnifique Judith trainait dans ce bar et j'allais pouvoir dévorer son cou de mes dents pointus !
Qui est Judith me demanderez-vous bande de curieux … Juste une connaissance qui je croise souvent, cette femme savait toujours où je pouvais aller quand je me posais dans un trou perdu, aujourd'hui encore elle me laissait l'occasion de profiter d'elle. Sans problème, je vins glisser ma tête par-dessus son épaule, posant mon menton dessus je lui soufflais quelques mots à l'oreille droite et ainsi elle me fis boire son verre, elle savait me satisfaire cette petite prostituée … Ouais, elle se laissait si facilement faire qu'elle n'était rien pour moi, juste un outil de satisfaction à mes yeux, comme les prostituées. Dégustant donc cet alcool au goût acide, je me léchais machinalement les lèvres avant d'embrasser son cou … Mais comme une conne elle hurla dans mes écoutilles en voyant un pied démolir le morceau du comptoir devant elle, putain, ce jour là je me pris le plus gros vent de ma vie, car avant même que je ne pose mes lèvres dans son cou elle se cassa en criant.
Il y a trois choses à ne pas faire si on veut que je reste calme, la première c'est de ne jamais me retirer le pain de la bouche, la seconde est de ne jamais me cracher en pleine face dans une histoire et troisièmement, il ne faut jamais m'empêcher de satisfaire mes pulsions à tendance sexuelles ! Là, c'était trop, 2/3 c'était suffisant pour me foutre hors de moi. Mon regard enragé, je fixai du coin de l'œil d'où venait ce pied qui venait de m'empêcher de profiter de Judith, un sale ivrogne encore, comme tous ces ivrognes qui vous font chier quand vous êtes bien pénard dans votre coin. Par dessus tout ce tas de merde, je venais juste de me faire devancer par un mec complètement bourré qui lui en avait décollée une bonne dans les dents en l'attirant avec je ne sais quel force, en tout cas je suivais la scène dans mon coin, me levant lentement pour dépoussiéré mon froc. Je serrais les poings, car moi je n'allais pas lâcher l'affaire aussi facilement.
Après la petite scène de ménage entre les deux ivrognes je m'avançais vers eux, tenant dans mes mains mes deux armes favorites, mes flingues, les pointant vers eux j'entendis la marine arriver et dans un moment d'oubli je me mis à chercher une solution pour me dégager de cette situation, des pirates comme moi face à la marine c'était à m'attirer des emmerdes, et des emmerdes j'en avais déjà bien assez avec mes dettes à rembourser. Ne lâchant pas le fameux mercenaire du regard – Jack en l'occurrence, celui dont j'ignorai encore le nom à l'époque – je marchais en pas chassés afin de me mettre un peu à l'ombre, la marine venait chercher les troubles faites, mais je le suivais toujours du regard, je devais la suivre, il possédait une force qui m'attirait et il me fallait de quoi vivre, peut être qu'il aurait un boulot pour moi, et une nouvelle femme à me trouver pour me divertir …
Tandis que la marine pénétrait les lieux en force, je pris une allure assez vive, suivant les pas de cet homme sans perdre un instant. Rangeant mes armes, le fidèle manieur de sabre que j'étais, sortis le sien, et m'élançant dans l'assaut pour en débattre avec quelques marines, je finis par passer le mur qu'ils avaient formés. Une fois dehors, je poursuivais mon cher ami anonyme, le voyant prendre le cape avec un navire, j'en conclus qu'il devait être au moins Capitaine ou Sous-Capitaine, de mon cotes je prenais un navire bien moins impressionnant que le sien, légèrement plus petit mais muni d'une assez grande voile, et sans perdre de temps je mis le cape derrière lui, le suivant attentivement, à vrai dire, mon dernier navire qui était une barque à l'origine, avait coulé suite à un problème … de poudre …
Ce fut ainsi que ma journée se fit si paisible et si douce que je du me les geler à suivre un inconnu dans l'espoir de lui en décoller une premièrement pour avoir fait partir ma belle Judith avec son boulet d'ivrogne et deuxièmement de lui demander de m'accepterai ces cotes. J'étais certain qu'un … « immortel » pouvait l'intéresser tout de même, surtout un malade n'ayant pas peur de la mort :
« Allons l'ami, bientôt tu auras quelqu'un pour porter le calbute sur ton beau navire ! »
Les Gains ~~
-Jack =>12 XP -Joe => 7 XP -Day => 8 XP
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Sujet: Re: On trinque, on s'tape![Pv: Joe & Dark]
On trinque, on s'tape![Pv: Joe & Dark]
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